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Mes expériences sportives

Mes expériences sportives

Courses à pied, tournois de Badminton & récits en tous genres


[29/05/2022] Marathon de Marne-et-Gondoire en Relais

Publié par David Gueudet sur 29 Mai 2022, 20:03pm

Catégories : #COURSE À PIED

3 ans après ma première participation en tant que coureur au Marathon de Marne-et-Gondoire, me revoilà engagé sur cette belle épreuve. C'est même la troisième fois que j'y participe puisque j'ai été bénévole quelques années auparavant au ravitaillement d'arrivée. Cette fois, initialement inscrit en solo, je vais finalement le faire en équipe puisque Geoffrey m'a proposé de le faire avec lui en relais.

On hésite longtemps sur la formule à adopter, chacun un semi-marathon ? Je fais les 10 premiers kilomètres, Geoffrey les 22 suivants et moi les 10 derniers ? Et finalement, on choisit de le faire en Run & Bike comme pas mal d'autres équipes en fin de compte.

Je ne m'économise pas vraiment les jours qui précèdent la course, en ce week-end de l'ascension avec mon 3000m steeple à Saint-Maur mercredi, quelques activités (Bowling, Laser Game, Accrobranches, Badminton) les jours suivants, 70 kilomètres de VTT la veille de la course dont 22 le soir dans le cadre de L'Armentiéroise (Sous les étoiles à VTT) mais je profite bien ! En espérant quand même avoir du jus le dimanche car je sais que Geoffrey est en super forme en ce moment, il enchaîne performances sur performances donc on peut viser un résultat correct.

[29/05/2022] Marathon de Marne-et-Gondoire en Relais
Dimanche 29 mai 2022

Réveil relativement tôt ce dimanche matin après un coucher tardif la veille. Je me lève vers 7h00 pour être sur place à 8h00, avec Mathilde qui m'accompagne ce matin et sera présente au niveau de quelques ravitaillements sur le parcours. On retrouve rapidement Geoffrey avec qui je récupère notre porte-dossard et le dossard n°108. Nous nous préparons tranquillement avant de nous retrouver à proximité de la ligne de départ où je croise pas mal de connaissances, entre ceux qui font l'épreuve en solo, ceux qui accompagnent juste sur quelques kilomètres ou ceux qui font le Marathon en Relais comme nous.

Prévu à 9h00, le départ est légèrement retardé, il est finalement donné à 9h07, peu après celui de la Joëlette et d'un mal-voyant avec son guide. Je m'élance aux côtés de Vincent et Manu, deux des favoris en individuel mais surtout aux côtés des quelques relayeurs qui visent la gagne aujourd'hui et je sens bien que le niveau va être relevé.

La course
De Bussy-Saint-Martin à Collégien

C'est parti ! Je prends assez rapidement les devants car je trouve que ça ne part pas très vite dans le Parc de Rentilly. Je rejoins Geofrey qui s'est élancé un peu plus loin à vélo et un concurrent me double assez tôt. Comme nous, il fait la course en Run & Bike avec son frère qui est devant sur le vélo. Je le suis mais je trouve qu'il part fort donc je ne cherche pas à m'accrocher à tout prix, c'est bien trop tôt pour me griller. A la sortie du Parc, nous dépassons ceux qui ont pris le départ en avance (Joëlette et mal-voyant) tandis qu'un coureur en jaune passe à ma droite, voilà là aussi de sérieux concurrents et ce n'est pas FunRun qui se trouve un peu plus loin.

Notre premier passage de relais est assez approximatif car il intervient tôt, je n'anticipe pas vraiment le passage de la ceinture porte-dossard donc nous perdons un peu de temps mais c'est parti pour Geoffrey après 1,5 kilomètres.

De Collégien à Ferrières

Le premier relais de Geoffrey est plus long que le mien puisqu'il a 3,4 kilomètres à parcourir jusqu'à Poncarré. Il est plus rapide que moi donc c'est plutôt une bonne chose même s'il faudra évidemment qu'il puisse aussi se "reposer" sur le vélo pour être le plus efficace possible. Après la descente de Collégien, dans la montée juste avant la Route de la Brosse, Geoffrey double le gars en jaune, après moins de 4 kilomètres de course. En revanche, devant, les premiers s'échappent nettement.

Geoffrey passe bien la portion vallonnée qui suit, prend de l'avance sur nos poursuivants, ce qui me permet d'aborder sereinement mon deuxième relais, juste avant la descente vers le Lac de la Taffarette. Deuxième relais assez approximatif, Geoffrey n'a pas non plus anticipé le passage de la ceinture mais ça va nous permettre de nous régler pour la suite. 

Je ne suis pas encore très chaud mais avance relativement bien le long du lac avant d'enchaîner avec la montée dans Ferrières en direction du Château. C'est un nouveau relais de 1,5 kilomètres donc je peux me permettre d'envoyer un peu. Nous arrivons vite au ravitaillement de Ferrière où se trouve Mathilde. Je passe le relais à Geoffrey puis change de bidon (j'avais rempli quelques bidons d'eau plate que Mathilde a avec elle afin que je puisse recharger en eau sans perdre de temps aux ravitaillements). Je repars vite en direction de la forêt car Geoffrey cavale bien.

De Ferrières à Bussy

C'est un passage plutôt roulant de la course, sur un chemin peu accidenté mais en très léger faux-plat montant. Très efficace, Geoffrey stabilise l'écart avec ceux qui nous devancent et continue de creuser le trou avec les deux équipes en chasse, les "jaunes" et une équipe de Marne-et-Gondoire Athlétisme. Alors qu'ils ont fait leur première transition hors ravitaillement, c'est au ravito de Jossigny que les leaders de la course échangent leurs rôles pour la deuxième fois, le premier relayeur reprenant la course. Moi, j'attaque déjà mon troisième relais, plus long cette fois avec 3,8 kilomètres à faire alors que Geoffrey vient d'en faire 3,1.

Je me sens mieux sur ce long relais que sur les deux précédents et c'est tant mieux car la distance à parcourir me semble très longue. Les chemins me plaisent bien, surtout ceux dans la forêt même si le passage au milieu de champs entre Jossigny et Bussy se fait sur un chemin accidenté assez peu roulant. On retrouve ensuite un peu de bitume avec quelques traversées de route et après un bel effort, je transmets enfin le relais à Geoffrey. Mes sensations sont très correctes mais ce passage va forcément laisser des traces même si je récupère bien à vélo pour l'instant. 

De Bussy à Chanteloup

Geoffrey me demande la distance qu'il a à parcourir et il me semble de mémoire que c'est un peu moins que ses précédents relais, environ 2 kilomètres donc je lui dis sans certitude mais ne me trompe effectivement pas. Du coup, il envoie bien ici, sur une portion assez roulante jusqu'à Guermantes, le long du Golf.

Je lui passe le vélo et m'élance ensuite pour une portion relativement courte mais variée avec une belle partie descendante jusqu'au ravitaillement de Conches qui n'arrive qu'au bout de 600 mètres donc que nous zappons. Je poursuis, toujours en descente, en direction de Chanteloup avant que la route ne se redresse progressivement. Je n'ai que 900 mètres à faire depuis le ravito de Conches mais j'en bave bien dans la montée qui mène vers le Bois de Chigny que je connais pourtant bien. Geoffrey m'encourage en me disant que c'est en côte qu'on fait la différence, je sers les dents et passe le relais au ravito suivant, fatigué.

Mathilde est là pour la deuxième fois de la course mais je n'ai cette fois pas besoin de changer de bidon. On repart assez vite, après un peu plus d'une heure de course pour 16,8 kilomètres parcourus au cumulé.

De Chanteloup à Chalifert

Dans le Bois de Chigny, je suis intrigué par la rubalise arrachée donc je préfère faire demi-tour pour être certain que nous ne nous trompons pas de chemin puisque je n'aperçois pas de balisage au loin. Lorsque j'arrive à l'entrée du bois, nos poursuivants me confirment que c'est bon donc je repars rassuré mais j'ai un joli trou à combler pour revenir sur Geoffrey qui avance toujours aussi bien.

Je le rattrape au bout de la grande ligne droite où nous prenons sur la gauche après une barrière. Nous filons vers Lagny par le Parc des Sports. Geoffrey termine parfaitement son relais de 3,4 kilomètres en déroulant bien dans la longue descente jusqu'au Collège. Il creuse là franchement l'écart et je l'envie presque d'avoir eu à courir cette descente bien pentue qui me repose bien sur le vélo pour autant.

Une fois en bas, il reste quelques centaines de mètres avant le ravitaillement où nous arrivons rapidement. Je pars cette fois pour 2,1 kilomètres de course, d'abord sur la route sur du plat puis sur des chemins en descente. Nous passons le semi-marathon ! Cette zone est un peu légère en balisage mais nous ne nous trompons pas et filons vers les Bords de Marne. Nous ne sommes pas loin de chez moi, je connais bien le coin. Encore un peu de route en bas pour aller jusqu'à Montévrain où je repasse le relais à Geoffrey juste avant des chemins un peu plus techniques où je prends plaisir à le suivre à vélo.

Nous attaquons là une portion de 2,9 kilomètres mais peu après la passerelle de Chessy, après environ 2 kilomètres je dirais, nous arrivons finalement au niveau d'un ravitaillement imprévu, l'occasion de nous relayer à nouveau, ce qui permet à mon coéquipier de faire une petite pause pour satisfaire un besoin naturel. Je n'ai pas beaucoup récupérer, je commence à bien fatiguer mais je tiens bon et avance correctement sur un kilomètre environ avant le ravitaillement suivant, celui de Chalifert, où se trouve Mathilde.

Ayant vu les autres vélos passer par la gauche, Mathilde tente de me faire comprendre qu'il vaut mieux que je fasse pareil mais dans la précipitation, je ne comprends pas que ce n'est pas juste un détour pour prendre la montée par un chemin moins étroit mais un moyen de zapper toute cette portion très complexe à VTT...

De Chalifert à Carnetin

Me voilà donc engagé dans une belle galère car la montée est très accidentée (racines, cailloux, trous) et bien raide. Je passe bien la première portion qui me fatigue particulièrement quand même mais la suite est injouable sur le vélo. Des cordes ont même été installées pour les coureurs ! Je suis obligé de descendre du VTT et de le pousser dans ces forts pourcentages sur chemin et je galère bien comme il faut avec la fatigue. On échange quelques mots avec le gars en jaune pour qui cette côte est bien casse-pattes également.

Je réussis tant bien que mal à atteindre le sommet de la bosse, soulagé. Je remonte sur le vélo et accélère sur le plat puis dans la descente très large mais technique avant une deuxième partie plus roulante où je peux envoyer un peu mais Geoffrey est loin devant. Je fais donc aussi l'effort ensuite en bas, y compris sous le tunnel "éclairé" par des bougies et derrière lequel sont déjà positionnés les vélos de nos poursuivants et des accompagnateurs. Je me suis bien facilité la chose moi encore !

Ce passage est encore loin d'être terminé puisque la portion totale fait 4,1 kilomètres, c'est le plus grand passage de la course sans ravitaillement. Je rejoins Geoffrey vers la fin de l'ancienne voie ferrée, peu avant une petite descente mais il lui reste encore une belle montée en deux temps à franchir. Mais moi aussi et là, j'en bave bien sur le vélo et paie cher mon mauvais choix même si je suis quand même satisfait au fond de moi car au moins, j'aurai fait le parcours en entier !

La première partie de la montée vers les hauts de Dampmart n'est pas très pentue mais elle est très longue et sur des chemins pas très roulants. Je la gère à vélo mais elle est très usante. Les "jaunes" ne sont pas très loin derrière mais Geoffrey continue de creuser l'écart, comme à chaque fois qu'il prend le relais. De mon côté, je limite bien la casse pour l'instant en maintenant généralement notre avance ou en ne concédant qu'un peu de terrain mais ça devient dur.

En haut, je repasse devant Geoffrey sur une partie plus roulante et prends un peu d'avance dans la deuxième partie de la montée, au niveau de la Dhuis. Cela me permet d'aborder mon prochain relais sans avoir à trop puiser sur le vélo alors que j'accuse déjà bien le coup. Fin de ce très long relais pour Geoffrey qui a certainement bien besoin de souffler. A moi de résister désormais.

Dès les premiers pas, les signaux sont mauvais car je sens un départ de crampe au niveau de mon mollet gauche. Mais je n'ai pas le choix, nous n'avons pas fait tous ces efforts pour rien, Geoffrey est un peu plus loin derrière, je ne vais pas m'arrêter là pour étirer mon mollet, j'essaie de me relâcher un peu et je relance.

Je commence à être vraiment dans le dur, je serre les dents mais l'allure reste correcte, surtout sur le plat. Je n'ai "que" 2,5 kilomètres à faire, il faut que je tienne bon. Je lutte vraiment dans la montée pour continuer d'avancer convenablement, je sens bien que la fin de course va être très rude mais Geoffrey semble encore bien, on doit la garder cette deuxième place que l'on tient depuis Ferrières-en-Brie !

Je sais que le ravitaillement approche, ça me pousse à mettre un maximum d'énergie quand mon corps n'en peut plus, encore une montée après une petite relance et voilà enfin le ravitaillement. Une portion pas très longue mais qui m'a bien cassée. Là, j'ai vraiment besoin de souffler. Mathilde est là donc j'en profite pour changer de bidon et les bénévoles aux petits soins me proposent un verre de coca que je ne peux pas refuser. Il fait du bien ! Mathilde me prévient qu'elle va maintenant nous attendre au Parc de Rentilly... allez, plus qu'à finir !

De Carnetin à Saint-Thibault

Je repars en descente sur le vélo, sur le bitume donc je prends rapidement de la vitesse, ce qui me permet de rejoindre assez rapidement Geoffrey, peu avant un endroit que je connais bien, ayant participé plusieurs fois à Entre Dhuis et Marne. Nous passons une autre descente, caillouteuse celle-ci, le long des autruches de Carnetin. Il n'y a que 1,4 kilomètres entre le ravitaillement précédent et celui de Thorigny-sur-Marne donc nous zappons ce point de relais là pour que Geoffrey court un peu plus longtemps. Cela permet de recreuser un peu l'écart sur nos poursuivants et je peux me reposer un peu car je suis bien cuit et je le fais clairement comprendre à Geoffrey.

Nous passons une petite bosse sur la route en nous interrogeant sur ce que nous ont dit les bénévoles du ravito de Thorigny quand je leur ai demandé s'ils savaient quelle distance nous sépare du ravitaillement suivant. Ils ont évoqué un délirant 5 kilomètres mais nous savons bien que ce n'est pas le cas. Finalement, Geoffrey a 1,7 kilomètres supplémentaires à faire donc nous avons bien fait de retarder le relais, surtout que toute la portion finale se fait sur une belle descente sur la route. C'est en bas, à Pomponne, après avoir échangé quelques mots avec Olivier, un des nombreux relayeurs de chez FunRun qui nous ont bien encouragé pendant la course, que je récupère la ceinture porte-dossard pour mon dernier relais en tant que coureur.

Je connais bien l'endroit donc je parviens à plutôt bien avancer vu mon état de fatigue avec une bonne relance au moment de passer par-dessus les rails et la Marne puis des escaliers relativement bien gérés et une portion de plat en Bords de Marne. Je tiens bon mais cette portion de 3,1 kilomètres est quand même trop longue pour moi malgré les encouragements de Geoffrey qui me pousse pour que je mette tout ce qu'il me reste dans la bataille !

Je résiste longtemps mais je n'ai aucune idée de ce qu'il me reste à parcourir. Cela me paraît interminable car j'espère que le ravitaillement de Saint-Thibault se trouve dans la zone à la sortie des Bords de Marne mais ce n'est pas le cas. Je force jusqu'en bas de la montée où j'arrive à court d'énergie, obligé de demander un relais à Geoffrey car je suis lessivé. Je peine vraiment pour repartir à vélo et avance au ralenti dans la belle montée jusqu'au ravitaillement, après m'être fait doubler par nos poursuivants.

De Saint-Thibault à Rentilly

Je fais une bonne pause nécessaire au ravito où je mange un peu avant de repartir pour aller rejoindre Geoffrey qui est encore sacrément efficace. Je parviens à revenir dans les roues du coéquipier de notre poursuivant et du gars qui les accompagne, je les dépasse dans le haut de la montée vers Gouvernes où il reste moins de 4 kilomètres avant l'arrivée.

Je parviens à relancer sur le plat et passe à vive allure le coureur de l'équipe qui occupe la troisième place du classement actuel derrière nous, dans la belle descente qui suit. Je mets un peu de temps à rejoindre Geoffrey alors que je suis à plus de 30km/h donc quand je le rattrape, je le rassure sur le fait que nous avons une belle marge d'avance, ça va tenir.

On passe le dernier ravitaillement, direction l'Etang de la Loy et les derniers hectomètres de la course, du côté de Rentilly. On connaît tous les deux bien ces endroits, notamment pour avoir fait les Virées de FunRun récemment. Dernier faux-plat montant pour revenir dans le Parc, traversée de la route, un petit détour dans le bas du Parc pour passer dans l'herbe afin de remonter ensuite en direction du Château Miroir pour en finir et franchir main dans la main la ligne d'arrivée, après avoir pu taper dans la main de Mathilde. Ouf, voilà une bonne chose de faite ! On se congratule avec Geoffrey avant de saluer ceux qui sont arrivés 6 minutes avant nous et de nous restaurer un peu tout en assistant aux arrivées suivantes avec la belle 3ème place des "jaunes", la 4ème place pour MEGA puis l'arrivée de Manu et Vincent aux deux premières places individuelles dans des chronos incroyables vu le parcours !

De notre côté, nous bouclons ces 42,195 kilomètres et presque 400 mètres de dénivelé positif en 2 heures 42 minutes et 25 secondes, deuxième équipe sur 42 classées. Nous avons tous les deux fait l'intégralité de la distance même si je n'ai fait "que" 17 kilomètres à pied environ contre 25 pour Geoffrey mais les parties à vélo n'étaient pas forcément beaucoup plus simples et reposantes à vrai dire. J'ai manqué de jus, de caisse pour tenir cette allure sur cette distance mais je m'en satisfais déjà pleinement vu mon entraînement et mon activité de la semaine. J'ai en revanche peut-être négligé un peu mon alimentation pendant la course car le solide fait quand même beaucoup de bien.

[29/05/2022] Marathon de Marne-et-Gondoire en Relais

Ce n'est que vers 15h que je reviens au Parc de Rentilly après être allé mangé et avoir pris une bonne douche, en compagnie de Mathilde, Alice et Juliette pour profiter du village de la course et de ses animations ainsi que participer avec bien du plaisir à la cérémonie protocolaire bien qu'elle s'éternise un peu avec, forcément, beaucoup d'absents vue l'heure tardive de remise des récompenses. Nous avons fini la course à 11h50 et sommes appelés pour le podium que vers 16h30.

Cependant, les trois premières équipes au scratch sont bel et bien là, Geoffrey me laisse gentiment récupérer notre coupe et nous posons aux côtés de Michel, fondateur de l'épreuve et déguisé en César en référence au thème de cette année : les Gaulois et les Romains. Car la particularité de ce Marathon, en dehors de son parcours exigeant mi-route, mi-chemins, c'est qu'il est très festif avec de nombreux participants déguisés !

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